LC01 : Liaisons chimiques

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Bibliographie

  • Le livre scolaire, 1ere générale
  • 1ère générale, Nathan
  • Académie de Montpellier
  • Animation ?

    Prérequis

  • Schéma de Lewis
  • Electronégativité

    Intro

    Les atomes ne sont en général pas isolés, ils interagissent entre eux pour faire des liaisons.

Liaison de van der Waals Liaison hydrogène Liaison covalente : liaison simple, double, triple -> Polarité d’une liaison avec l’électronégativité Liaisons multiples Liaison ionique : quantifier avec l’échelle de Pauling

Manips : point de fusion acide fumarique/maléique, CCM des différents nitrophénols : demande d’expliquer la CCM, dissolution du sel, extraction du diiode dans le cyclohexane

I. Cohésion de la molécule (pas de la molécule si je mets aussi la liaison ionique)

Raisonner avec le tableau périodique pour dire qu’on va être covalent ou ionique

1) Liaison covalente

Une liaison covalente peut être formée lorsque deux atomes dans leur état fondamental ne présentent pas un nombre d’électrons de valence suffisant pour leur permettre de respecter la règle de l’octet ou du duet.

La liaison covalente résulte de la mise en commun d’un électron de valence par chacun des deux atomes engagés pour former cette liaison. Les liaisons covalentes sont représentées par un trait dessiné entre les deux atomes.

La liaison peut être polarisée ou non. Si dans une liaison entre A et B, A est plus électronégatif (on rappelle que : l’électronégativité d’un atome traduit son aptitude à attirer à lui les électrons d’une liaison dans laquelle il est engagé. Cette grandeur sans unité varie en fonction de la place de l’élément chimique dans le tableau périodique) que B alors la liaison est polarisée, on note les charges partielles.

Énergie de liaison : énergie requise pour rompre toutes les liaisons covalentes d’une mole de la molécule considérée. Elle se mesure donc en J·mol-1.

Parler de liaison simple, double et triple et comparer l’énergie de liaison et la longueur de la liaison. Plus l’énergie est grande, plus la longueur est faible : c’est cohérent avec l’idée qu’on s’en fait.

2) Liaison ionique

Transition : Maintenant les atomes sont liés pour former une molécule. Mais si on s’arrête là, on a décrit un gaz. C’est à dire un endroit où les molécules ne se parlent pas. Comment les molécules vont pouvoir s’assembler et intéragir ensemble de manière à avoir un solide moléculaire ?

Dire qu’on va avoir des atomes qui ont des électronégativités très différentes, un des deux va capter tous les électrons l’autre n’en aura pas. On aura une intéraction électrostatique entre les deux atomes.

II. Cohésion de la matière

1) Liaisons de van der Waals

La cohésion des solides moléculaires est assurée par les interactions de Van der Waals : ce sont des interactions intermoléculaires attractives de courte distance et dont l’intensité est faible. Définir les trois types de liaisons.

2) Liaisons hydrogène

Les liaisons hydrogène : ce sont des liaisons intermoléculaires entre un atome d’hydrogène H portant une charge électrique partielle δ+ et un atome très électronégatif porteur d’un doublet non liant( F, O, N, Cl) d’une autre molécule. Elles sont représentées par des traits en pointillés entre les atomes.

Conclusion

Diapo

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